Victime de la pénurie d’essence, désireux de réaliser des économies, faire un geste pour la planète, ou pour toute raison, et si vous passiez au covoiturage ?
Je pratique le covoiturage occasionnellement. Entre collègues, nous nous sommes rendu compte que nous pouvions nous dépanner mutuellement les jours de grève ou lorsque l’un d’entre nous rate son train. Travaillant sur deux sites (à Paris et à Saint-Quentin-en-Yvelines) et tributaire de contraintes familiales, je ne peux le faire régulièrement, mais je le regrette, car le covoiturage est convivial et permet de mieux se connaître.